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Les partenaires institutionnels

Le Conseil national des activités privées de sécurité

Est né d’une volonté commune de l’Etat et de la profession de moraliser et de professionnaliser ce secteur. Celui-ci a connu une croissance importante au cours de la décennie écoulée, générant aujourd’hui un chiffre d’affaires de plus de 5 Mds d’euros, et employant près de 185 000 agents.

Réglementées depuis la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 plusieurs fois modifiée, les activités privées de sécurité étaient de fait peu contrôlées. Or, comme l’ont confirmé les premiers contrôles réalisés par le CNAPS, les risques d’infractions à la réglementation, de travail dissimulé, d’emploi d’étrangers en situation irrégulière, sont réels. Ils peuvent être aggravés par la pratique de la sous-traitance en cascade. Lorsqu’ils se réalisent, ils ont pour conséquences des prestations de qualité médiocre, voire des incidents au contact du public, dégradant l’image de la profession. Ils induisent également des distorsions de concurrence ainsi que des prix tirés vers le bas qui fragilisent l’ensemble des entreprises du secteur.
Pour en savoir plus, consultez le site www.cnaps-securite.fr

La Délégation ministérielle aux partenariats, aux stratégies et aux innovations de sécurité

Héritière de la délégation interministérielles à la sécurité pivée, puis de la Délégation aux coopérations de sécurités, la DPSIS a été créée pour embrasser un champ qui se veut plus large qu’initialement. Le décret du 11 septembre 2020 a institué un délégué ministériel aux partenariars, aux stratégies et aux innovations de sécurité issue de la fusion de la délégation ministérielle aux industries de sécurité et à la lutte contre les cybermenaces (DMISC) et de la délégation aux coopérations de sécurité (DCS). Ce délégué est chargé de coordonner et d’animer les partenariats avec les acteurs (professionnels de la sécurité privée, collectivités locales, industriels) concourant à la sécurité publique et à la politique industrielle relevant du champ de la sécurité intérieure et à la lutte contre les cybermenaces.

La sécurité privée poursuit les profonds changements engagées depuis le rapport « Blot » remis au ministre en juin 2010, les lignes ont bougé, les mentalités et les comportements collectifs et individuels ont commencé à évoluer.
La mise en place de la Délégation Interministérielle et les travaux préparatoires au déploiement du CNAPS auront contribué à l’approfondissement de la connaissance mutuelle des partenaires publics et privés et à l’instauration de débats de fond sur l’état du secteur et son avenir. Le rapport  de Mme Alice Thourot et M. Jean-Michel Fauvergue, « D’un continuum de sécurité vers une sécurité globale » a poursuivi cette volonté de changement. Et dernièrement, dans un contexte économique malheureusement difficile pour les entreprises, 2020 marquant pour toute la société un tournant sanitaire et économique exacerbant un besoin quotidien de sécurité pour lequel le monde de la sécurité privée a un rôle prépondérant à jouer. Et c’est dans ce contexte que le 16 novembre 2020 est publié le « Livre blanc de la sécurité intérieure« , qui offre et développe des orientations d’évolution encore plus marquées.
Pour en savoir plus, consultez le site www.interieur.gouv.fr

La Banque de France

Banque centrale, la Banque de France mène, dans le cadre de l’Eurosystème, des actions de politique monétaire. Ces actions garantissent le pouvoir d’achat de l’euro.
Institut d’émission, la Banque de France produit une partie des billets en euros. Elle garantit la qualité des billets et des pièces utilisés en France
.

Superviseur financier, la Banque de France surveille, pour le compte de l’Autorité de contrôle prudentiel, les établissements de crédit, les entreprises d’assurance et les mutuelles afin de protéger les clients et les assurés, et de garantir la stabilité financière.
Institution de la République, la Banque de France rend des services qui contribuent à l’équilibre des relations entre les acteurs économiques : médiation du crédit, traitement du surendettement des particuliers, gestion de fichiers de renseignements.
Pour en savoir plus, consultez le site www.banque-france.fr

L’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO)

L’OCLCO, créé par le décret du 6 mai 2006, est compétent en matière de lutte contre les groupes criminels quelles que soient leurs activités illicites. Il s’investit particulièrement dans la répression du grand banditisme et des trafics d’armes et de véhicules volés ainsi que dans la recherche des fugitifs.

Pour accomplir ses missions, OCLCO s’appuie sur trois brigades :

– la brigade nationale de répression du banditisme et des trafics;
– la brigade de recherche des fugitifs;
– la brigade de recherche et d’intervention nationale.

Pour en savoir plus, consultez le site www.police-nationale.interieur.gouv.fr

Le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie nationale

Le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) est l’unité emblématique de la gendarmerie en matière d’intervention et, plus globalement, de gestion des situations d’exception nécessitant l’engagement d’hommes spécialement entraînés et équipés ou la mise en oeuvre de techniques ou de moyens spéciaux.

Les militaires du GIGN sont formés et équipés de moyens et armements spécifiques, très sophistiqués, pour accomplir leurs missions. Ils interviennent généralement pour des faits très graves : terrorisme, prises d’otages, arrestations de dangereux forcenés, émeutes dans les prisons, risques ou menaces sur des intérêts vitaux pour l’Etat, collecte de renseignements et suivi d’individus particulièrement dangereux (terrorisme, grand banditisme), etc. L’efficacité et la compétence du GIGN sont reconnues mondialement.

Pour en savoir plus, consultez le site www.gendarmerie.interieur.gouv.fr

Actualités

Refus d’espèces, la FEDESFI saisit la Répression des Fraudes

Publication au JO du 22 décembre des arrêtés d’agrément des 3 CQP

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